Sunday, April 10, 2011

Les techniques cinématographiques et les 400 Coups

En biologie on apprend que le corps est organisé précisément comme une machine complexe. La cellule est l’unité élémentaire qui à son tour constitue les organes, et cetera. La structure du film est en grande mesure comparable: le plan est la cellule, la scène est l’organe, la séquence est un système d’organes et toutes les séquences ensemble constituent le corps. Dans un sens élémentaire, il se peut d’analyser un film en utilisant deux catégories: les cadrages serrés et  les cadrages larges. Dans le fond, celui-ci est caractérisé par une concentration sur un objet comme un acteur dont le décor, c'est-à-dire, les environs, n’occupe pas une partie la plus importante tandis que celui-là est en général le contraire. Le gros plan exemplifie un cadrage serré fréquemment utilisé de nos jours auquel un spectateur est donné l’image de quelque chose en détail « un close-up » souvent sur le visage simplement pour atténuer une réaction ou émotion. En réalité, en vertu du fait que la façon de laquelle la caméra plus généralement ne joue pas juste un rôle technique, plutôt occupe une telle position à quelle le cinéaste peut parler (figurativement) c’est sans équivoque plus compliqué. Quand le sujet filmé est énormément souligné, ce procédé est connu comme l’insert ou le très gros plan. Si la caméra est par exemple placée sur un chariot, des rails, ou inversement à l’épaule son déplacement est nommé le travelling, en plus le travelling optique, autrement dit, « le zoom » est un effet visuel qui est fréquemment utilisé afin de donner l’impression que la caméra se rapproche du sujet en question quand en fait elle ne se déplace pas. Cette technique conduit toujours à un gros plan. 

 
                              La définition du mal au centre


Un exemple fameux se montre dans la fin du film « les 400 coups ». Le protagoniste Antoine, un garçon, personnifie comment de petits évènements, à première vue de peu d’importance, peuvent être un facteur majeur quant à la direction qui prend la vie de quelqu’un. A la fin, il y a un long largement qui le montre en courant envers la mer sur une plage, et pour la première fois dans le film le spectateur peut voir clairement son visage qui ‘vous’ regarde directement. D’un part l’intrigue tourne autour de la question de sa libération, la profondeur énorme de la mer soit une façon symbolique de représenter son émancipation finale à l’écart d’une vie tragique. En revanche, à part de sa libération conceptuelle, il n’a pas de poste n’en la possibilité, aux yeux de la loi il a mérité d’être placé sous la détention, il n’a pas d’argents, autrement dit, il n’a pas d’avenir dans aucun sens réel, dans le passé sa vie était caractérisé par la malchance et peut-être la fin est rien que la culmination de ceci. Cela se pourrait. 

Le mot énorme 'FIN' couvrit son visage et donne l'impression presque d'une prison. Peut-être dans ses tentatives d'obtenir la liberté il s'est emprisonné

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