Friday, April 22, 2011

La scène finale de la Haine et Monsieur Pinker

La fin discutable du film la Haine a provoqué tant de vues différentes. Il semble qu’existe principalement deux interprétations. L’acte ou omission d’Hubert en tirant le policier a été interprété comme d’une part un acte de la faiblesse ou inversement comme une force vertu de caractère. A t-il choisi de ne pas le tuer? Ou a t-il désiré de le faire pourtant à cause de la peur il n’avait pas capable? Néanmoins, cette dichotomie, d’après moi, néglige d’énoncer une troisième possibilité. C'est-à-dire que les circonstances ont créent un dilemme complexe, un concept qui est connu parmi les psychologistes évolutionnaires comme « un piège Hobbesien ».[1] Cette idée a émané du philosophe Thomas Hobbes qui est connu en particulier pour le Léviathan. Par exemple, Steven Pinker nous donne le cas hypothétique : au milieu de la nuit, un propriétaire se réveille parce qu’il entend un bruit du rez-de-chaussée, un moment plus tard avec son pistolet, il décide de découvrir la cause, cependant, il tombe sur un cambrioleur armé.  Face à face,  chaque personne ne veut guère tuer l’autre, néanmoins chaque personne en même temps à cause du risque d’être tué par l’autre penserait qu’il est nécessaire d’agir pour la préemption  et cette incertitude, et pas une intention maligne, est le facteur capital qui engendre une escalade de la violence fatale.  

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