Friday, April 22, 2011

Polanski et Mitterrand.


La liberté, l’égalité la fraternité, cette expression fameuse française n’a jamais été applicable dans un sens absolu. Monsieur Roman Polanski, le cinéaste, personnifie ceci de la même façon que Frédéric Mitterrand. En bref, quand la carrière de Polanski avait déjà été bien établie en 1976 à l’âge de 44 ans, il a décidé volontairement de sodomiser une mineure de 13 ans. Le nom de sa victime était Samantha Geimer. En plus de ca, il l’a fait sous le coup de plusieurs narcotiques, y compris le méthaqualone (un sédatif). Apres avoir avoué sa culpabilité (il a plaidé coupable) Polanski a fui en France à l’écart de la justice. Le gouvernement continue à le protéger en le justifiant à cause d’une politique général qui empêche l’extradition de citoyen français (Polanski est né à Paris dans l’entre deux guerre).[1] Polanski continue à réaliser en dépit de ses actions, un fléau étonnant de célèbres ont ouvertement décidé de le donner leur appui. Récemment il était arrête en Suisse cependant par la suite il était libéré en raison d’une technicité juridique, le gouvernent actuel, y compris le Président Sarkozy, publiquement a soutenu sa libération de la prison provisoire, en fait, en général sa disculpation entière.[2] En particulier, le ministre de la culture Frédéric Mitterrand l’a jugé « épouvantable » (l’arrestation et pas le crime). En fait, Mitterrand lui-même dans son livre autobiographique « la mauvaise vie » a avoué que dans le passé il a profité du tourisme sexuel, en racontant comment les rituels de marche aux esclaves l’a excité énormément, et à propos de ses relations sexuels avec « de gosses ». Il est toujours employé dans ce rôle aujourd’hui. Les sondages reflètent que les français sont en faveur de l’extradition de Polanski, cependant ils ne favorisent pas le renvoi de Mitterrand. La mauvaise vie, un bon titre. [3]


[1] http://www.lemonde.fr/culture/article/2009/09/27/le-cineaste-roman-polanski-arrete-a-zurich_1245878_3246.html
[2] http://www.lepost.fr/article/2009/09/27/1714699_roman-polanski-arrete-par-la-police-mais-pourquoi.html
[3] http://www.lepoint.fr/actualites-societe/2009-09-27/reaction-frederic-mitterrand-cette-histoire-n-a-pas-de-sens/920/0/380868

Facebook


Le temps va et la vie change. L’internet qui est omniprésent aujourd’hui, la source des informations et des travails, n’a pas existé il y a 15 ans. Ce monde-ci semble d’être fictif donnant comment nos vies sont devenues fondamentalement entrelacé avec cette technologie. Les vieilles générations prennent plaisir en racontant la dureté du passé auquel c’était nécessaire de voyager une distance énorme afin de communiquer un message qui peut être fait de nos jours automatiquement. La vitesse du progrès technologique est remarquablement frappante, les anciennes portables paraissent aux yeux de la plus jeune génération ridicule et comique quant à leurs dimensions. Pourtant il convient de faire attention au fait que la façon de laquelle nous sommes maintenant d’une perspective technologique va sembler de plus en plus philistine avec le temps de même façon que le statu quo semblerait étonnant pour les générations du passé et même impossible pour celles-là au temps de la grecque antique. Bien sur, il y a une utilité avec ce changement, la vie est devenue plus facile en général, et aussi on peut le voir en action politiquement avec l’usage des réseaux sociaux comme Facebook, Twitter, et ainsi de suite. La brutalité des régimes barbares était expose seulement à cause de ces méthodes de la communication. Néanmoins nous avons perdu aussi. Les liens artificiels ont pour une part replacé les liens réels. Les réseaux sociaux sont très populaires, pourtant empêchent considérablement de se concentrer. Il est nécessaire quelquefois d’établir de certaines limites. On peut supporter très raisonnablement une interdiction à l’université de Facebook (et les autres) qui serait bienfaisant à la longue pour tous. Souvent dans les bibliothèques d’universités c’est franchement enrageant de voir une quantité énorme de gens gaspillent leurs temps avec ces activités frivoles tandis que les étudiants continuent à attendre. Surement, cette critique était autrefois faite à l’égard de la télévision, en tout cas, on ne posséderait pas le droit de dicter à quelqu’un d’autre un tel sujet, qui serait un choix personnel.                



La scène finale de la Haine et Monsieur Pinker

La fin discutable du film la Haine a provoqué tant de vues différentes. Il semble qu’existe principalement deux interprétations. L’acte ou omission d’Hubert en tirant le policier a été interprété comme d’une part un acte de la faiblesse ou inversement comme une force vertu de caractère. A t-il choisi de ne pas le tuer? Ou a t-il désiré de le faire pourtant à cause de la peur il n’avait pas capable? Néanmoins, cette dichotomie, d’après moi, néglige d’énoncer une troisième possibilité. C'est-à-dire que les circonstances ont créent un dilemme complexe, un concept qui est connu parmi les psychologistes évolutionnaires comme « un piège Hobbesien ».[1] Cette idée a émané du philosophe Thomas Hobbes qui est connu en particulier pour le Léviathan. Par exemple, Steven Pinker nous donne le cas hypothétique : au milieu de la nuit, un propriétaire se réveille parce qu’il entend un bruit du rez-de-chaussée, un moment plus tard avec son pistolet, il décide de découvrir la cause, cependant, il tombe sur un cambrioleur armé.  Face à face,  chaque personne ne veut guère tuer l’autre, néanmoins chaque personne en même temps à cause du risque d’être tué par l’autre penserait qu’il est nécessaire d’agir pour la préemption  et cette incertitude, et pas une intention maligne, est le facteur capital qui engendre une escalade de la violence fatale.  

Sunday, April 10, 2011

L’Extrême droite française.

                                 Monsieur Le Pen en 2002.


Eamon Gilmore était autrefois partisan de l’extrême-gauche, quelqu’un qui véritablement a cru en marxisme, l’idéologie qui désiré d’entrainer l’abolition de l’état et de la privatisation en faveur du dirigisme, en sus d’une litanie d’autres propositions absurdes. Néanmoins Gilmore occupe actuellement le rôle dans le gouvernement actuel irlandais de « Tanaiste » (le député-premier) et est également le dirigeant du parti le second plus grand dans l’état dans   l’ensemble. Il est possible de devenir un homme politique respectable d’une position de l’extrême gauche dans une manière franchement pas possible pour ceux sur l’extrême droite. C’était un point capital dont m’était éclairé récemment après avoir eu le plaisir d’être donné une présentation par James Shields. Martin McGuiness, un (ancien peut-être) membre de l’Armée républicaine irlandaise (IRA) qui est une organisation terroriste de l’extrême gauche, est devenu homme politique relativement respectable dans l'Irlande du Nord.   
 
 
James Shields.

Peut-être parce que la politique de gauche a traditionnellement insisté sur « l’égalité’ » y compris les fanatiques de gauche, tandis que le nationalisme a été un aspect majeur de la politique de droite, et tant de ces extrémistes ont la tendance d’être très rétrograde, réactionnaire, discriminatoire, et raciste. Jean-Marie Le Pen qui est quelqu’un qui exemplifie toutes de ces caractéristiques quand bien même il parle toujours avec bien de facilité en étant le maitre de la démagogie. Son message constamment correspond avec des idées péjoratives qui exploitent le pire dans l’humanité. L’extrême droite est si forte en France à l’étendue que la seule réaction appropriée est une de l’horrification. Rien n’existe intrinsèquement dans le peuple français qui n’est pas présent dans les autres. Il me parait que la perspicacité toujours augmente avec du recul! Pourtant il est prévisible qu’une telle transformation démographique qui se passe en particulier en France, est à l’origine du problème de l’appui pour les extrémistes comme Monsieur le Pen (ou Monsieur Geert Wilders en Hollande). En Irlande, juste avant la crise financière, l’importation d’un fléau de Polognes était la cause principale de bien de tensions, beaucoup de gens d’autrement normal devaient de plus en plus discriminatoire à l’égard d’eux. Le peuple Pologne n’est pas seulement blancs mais aussi catholiques, très comparable aux irlandais. En France, les musulmans en minorité ne sont guère analogues à cet égard même. Jean-Marie le Pen a fait le portrait, avec tact, de l’ascension de l’Islam en France comme une menace existentielle contre ‘les terroristes’ qui ne respectent pas la loi ni les valeurs de la République, les principes démocratiques, la liberté d’expression, les droits des femmes, ou de l’individu. Récemment sa fille Marine Le Pen est devenue le dirigeant du « Front national » en étant également extrêmement populaire. 


En faisant des recherches sur la culpabilité du gouvernent français dans l’affaire de Polanski cette femme très intelligence avec les cheveux blondes en parlait très fortement (avant que j’étais conscient qu’c’était elle) je me suis dit qu’elle a l’air de Jean-Marie Le Pen. Shields a proposé que Monsieur de Villiers appartienne à l’extrême droite aussi, pourtant quand je l’ai entendu pour la première fois l’air d’une façade de respectabilité et convictions pervers latent n’étaient pas apparentes du tout (d’après moi). Certes, il a fait la critique de l’Islam, mais dans une manière respectable et avec intelligence. Il y a un discours fantastique entre Tariq Ramadan et lui, voyez au dessous.


Y a-t-il vraiment une différence entre les vues envers l’Islam de Sarkozy et de Villiers, je crois que non.
    
                                         
                                          (Sarkozy contre Ramadan 1 sur 2)

                                          
                                           (2 sur 2)
                                       

Les techniques cinématographiques et les 400 Coups

En biologie on apprend que le corps est organisé précisément comme une machine complexe. La cellule est l’unité élémentaire qui à son tour constitue les organes, et cetera. La structure du film est en grande mesure comparable: le plan est la cellule, la scène est l’organe, la séquence est un système d’organes et toutes les séquences ensemble constituent le corps. Dans un sens élémentaire, il se peut d’analyser un film en utilisant deux catégories: les cadrages serrés et  les cadrages larges. Dans le fond, celui-ci est caractérisé par une concentration sur un objet comme un acteur dont le décor, c'est-à-dire, les environs, n’occupe pas une partie la plus importante tandis que celui-là est en général le contraire. Le gros plan exemplifie un cadrage serré fréquemment utilisé de nos jours auquel un spectateur est donné l’image de quelque chose en détail « un close-up » souvent sur le visage simplement pour atténuer une réaction ou émotion. En réalité, en vertu du fait que la façon de laquelle la caméra plus généralement ne joue pas juste un rôle technique, plutôt occupe une telle position à quelle le cinéaste peut parler (figurativement) c’est sans équivoque plus compliqué. Quand le sujet filmé est énormément souligné, ce procédé est connu comme l’insert ou le très gros plan. Si la caméra est par exemple placée sur un chariot, des rails, ou inversement à l’épaule son déplacement est nommé le travelling, en plus le travelling optique, autrement dit, « le zoom » est un effet visuel qui est fréquemment utilisé afin de donner l’impression que la caméra se rapproche du sujet en question quand en fait elle ne se déplace pas. Cette technique conduit toujours à un gros plan. 

 
                              La définition du mal au centre


Un exemple fameux se montre dans la fin du film « les 400 coups ». Le protagoniste Antoine, un garçon, personnifie comment de petits évènements, à première vue de peu d’importance, peuvent être un facteur majeur quant à la direction qui prend la vie de quelqu’un. A la fin, il y a un long largement qui le montre en courant envers la mer sur une plage, et pour la première fois dans le film le spectateur peut voir clairement son visage qui ‘vous’ regarde directement. D’un part l’intrigue tourne autour de la question de sa libération, la profondeur énorme de la mer soit une façon symbolique de représenter son émancipation finale à l’écart d’une vie tragique. En revanche, à part de sa libération conceptuelle, il n’a pas de poste n’en la possibilité, aux yeux de la loi il a mérité d’être placé sous la détention, il n’a pas d’argents, autrement dit, il n’a pas d’avenir dans aucun sens réel, dans le passé sa vie était caractérisé par la malchance et peut-être la fin est rien que la culmination de ceci. Cela se pourrait. 

Le mot énorme 'FIN' couvrit son visage et donne l'impression presque d'une prison. Peut-être dans ses tentatives d'obtenir la liberté il s'est emprisonné

Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain





Tous les aspects du film « Amélie » exemplifient parfaitement le désir de J.P Jeunet (le réalisateur) de créer une certaine perception pour le spectateur. C'est-à-dire, les couleurs, les personnages, les thèmes, le style, l’intrigue et les techniques cinématographiques, sont tous conçus pour réaliser « une victoire de l’imagination ».[1]   Le milieu est toujours positif et esthétiquement très réussi, qui tourne autour d’une métropole illusoire ou n’importe qui est pleins de particularités et tendances bizarres. La société est sans aucune graffites où se passe la poétisation de la vie quotidienne, par la suite le spectateur est transporté dans un univers imaginaire auquel l’ennui est tenu à distance par des buts superflus.[2] Le ciel n’est que bleuté, l’atmosphère n’est jamais monochrome, et la vie est toujours romancée; tant de conflits sociaux sérieux ne sont guère soulevés en plus du fait qu’il n’y a pas de messages politiques dans le film; plutôt existe une perception généralement de tout en rose, où des questions irrésolus ne subsiste pas. En bloc, le film est une représentation pittoresque d’une métropole de carte postale,[3] néanmoins le but des comédies n’est pas de faire le portrait du monde réel, le film est très drôle, très français, et très agréable pour cette raison-ci.     


[1] http://www.jpjeunet-siteofficiel.com/blog/?p=342 
[2] http://www.qualiquanti.com/pdfs/ameliepoulain.pdf
[3] http://www.qualiquanti.com/pdfs/ameliepoulain.pdf
  




Un nombre de critiques ont continué à souligner le point qu’Amélie contiens très peu de minorités ethniques, certes il semble qu’il soit vrai que ‘la peau noire’ est la seule couleur qui n’est pas vraiment présente,[1] il est également très difficile de croire qu’il y avait une intention de les omettre du film à cause de ce facteur-là. Parce que cette omission n’était pas évidente à première vue pour moi,  peut-être ce n’était pas évidente au cinéaste aussi mais le travail d’un critique est en partie faire la critique. Le réalisateur Spike Lee se mettait extrêmement en colère après avoir vu le film de guerre de Clint Eastwood, en raison du manque complet de soldats de couleurs dans son film, Eastwood, bien sur, a répondu laconiquement qu'il fallait que « he shut his face », cependant en terme d’exactitude historique Eastwood avait absolument raison : il n’avait pas aucune personne noire à ce conflit-là, mais un tel aspect de la précision n’était guère important pour Spike Lee.[2]  


[1] http://www.huffingtonpost.com/2008/06/05/clint-eastwood-spike-lee_n_105584.html
[2] http://www.huffingtonpost.com/2008/06/05/clint-eastwood-spike-lee_n_105584.html

 Sans l'actrice Audrey Tautou, le film ne serait pas aussi plaisant.