Sunday, April 10, 2011

La Haine




Les thèmes principaux du film « la Haine » tournent autour, dans un sens général, la ghettoïsation de la vie quotidienne, la violence omniprésente, l’identité, la liberté de la pauvreté, le milieu du désespoir qui produit de vies sans espoirs, l’économie de la rue, la polarisation d’une société hiérarchique divisé par les classes, le dédain envers l’établissement, la déshumanisation de ceux dans la banlieue hors du système, et leur solidarité parmi la discrimination qui transcende les différences raciaux. L’atmosphère est sombre, à l’exception de quelques rayons de lumière de temps en temps. Tellement de techniques cinématographiques n’ont utilisé que renforcer l’idée du cauchemar de la banlieue, dans ce sens le réalisateur  Kassoivtz expose une subculture de la haine qui la plupart ne jette qu’un coup d’œil à parfois, en le faisant le cinéma exprime une réflexion près de la ‘réalité’. Le metteur en scène clairement a voulu intrinsèquement influencer politiquement chaque spectateur au moyen du cinéma dans une manière complètement absent dans le film « Amélie » un peu ironique s’on considère que Kassoivtz est aussi acteur qui a joué dans ce film-là dans le rôle de ‘Nino’. 

  Sans doute, « la Haine est un film important, Apartheid n’était pas de concept juste applicable à ‘l’Afrique du sud, l’Apartheid social existe dans chaque société parce que dans chaque personne il y a une capacité innée et inextricable de créer une vue binaire du monde. ‘La race’ était un des concepts pseudo-scientifique utilisée dans le case de l’Afrique du sud, la banlieue dans le cas de la France actuelle la liberté, l’égalité, la fraternité ont toujours été de principes conditionnelles, jamais universellement applicable. Du moins, c’est la leçon didactique tout à fait claire de l’histoire, les pieds noirs de l’Algérie, ils-étaient traité égaux à la population indigène ? Pas du tout, la mission civilisatrice de la France a entrainé la dénégation de la démocratie et les morts au-dessus d’un million d’algériens. Personnellement je me demande si j’étais soulevé dans la banlieue si la direction de ma propre vie serait la même, je le doute. « La Haine » expose les raisons pour ces doutes, il est plus facile de dédaigner en ayant la sécurité du travail et d’un avenir



C'est moi qui tu parles?


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